J'ai les yeux teins d'une couleur brun avec mes cheveux noir qui sont parfaitement attachés en queue de cheval. Et caché par une capuche. J'ai de belles lèvres pulpeuses et rouge. Un fin menton et un cou mince. Des épaules robustes, mais pas trop musclées. Une poitrine généreuse qui ressort d'avantage étant donné que je suis très mince. Avec de longue et fine jambes. Je porte une capuche sur la tête et un corsais en cuire avec de fine draperie blanche qui cache le minimum. De hautes bottes qui monte jusqu'à mi-cuisse où je peux glisser facilement une arme. Être une tueuse ne veux pas dire ne pas être sexie. C'est même un avantage pour distraire où se faufiler entre des danseuses pour tuer sa cible.

Je dirais que je suis complètement folle. Tuer pour de l'argent est une chose, mais tuer pour le plaisir en est une autre. Je tue pour peu d'argent et j'aime ça. Le fais que je ne réclamai pas beaucoup me donne beaucoup de succès et de victime.
Je ne suis pas timide, plutôt curieuse et mesquine. Mais timide, ça jamais. je suis passé maitresse dans l'art de jouer la comédie, rien de mieux pour mon métier.
Je suis aussi très gentille... quand je le veux. Et si vous êtes l'une de mes proies je serai douce comme un agneau jusqu'a ce que je vous passe mes lames dans le ventre.
Tel que je suis, une démone, je suis tout simplement diabolique et sans pitié. Mais ça peu changé par moment. Et surtout si ça me revient utilement, je peux alors risquer de vous aider. Mais vous en payerez le prix fort.

Je n'ai pas de passé.

Née d'une vampire au sang noble et d'un misérable humain Changé en vampire. Je prends forme humaine pour me cacher dans ce monde où la paye n'est que mensonge.
Je vie et tue qui conque le méritant à mes yeux. La pitié est une chose pour les faibles et je ne ferais que vous fair souffrir.
Mais j'ai eu quelque rencontre et des connaissances.
àAmes douze ans, je maîtrisais déjà l'art de l'assassinat. Si bien, que mon père m'utilisait pour que je face le " sale boulot".

Mon premier meurtre est le plus intéressant, car les autres suivent le même chemin:
Il faisait nuit noire et le vent avait décidé de ne pas se montrer. Ce qui est un avantage pour moi qui me cache dans un buisson à l'affut. J'attendais pour pénétrer la grande demeure qui se trouvait en face de moi. La moindre faute, le moindre bruit et les gardes du corps me repéraient. Ce qui signifie la fin pour moi.
Je vis alors dans l'un des rayons de lune que les nuages laissèrent passer, ma proie. Un homme d'affaire dont mon père devait des millions. Sa mort effacerait la dette. Ma mort serait aussi celle de mon père. Mais je ne veux pas mourir, je le tuerai.
L'homme se baladait avec une femme et des gardes du corps. Ils allèrent dans un endroit calme pour avoir une plus grande de discrétion. Et il chassa ses molosses qui sans protester partirent. Bien-sur moi,, je les suivais. La femme portait une robe de soirée d'un rouge sensuelle avec les cheveux détachés pour accentuer l'effet de sensualité. L'homme lui portait un costume cravât noir, très chique, parfait pour mourir.

Je n'avais pas le droit à la faute. Je me faufilais d'arbre en arbre ne faisant aucun bruit attendant le bon moment, tapis dans l'ombre. Ils se mirent sur un banc près d'un lac qui faisait partie de la propriété.

Le moment idéal. Je lançai un bois qui attira l'attention de la belle femme. Bien-sur inquiétude et c'est l'homme qui part voir ce que c'est. J'en profitai pour la tuer dans le dos en mettant ma main sur sa bouche pour qu'elle ne fasse pas un bruit. L'homme revient avec le bâton (quel gentil toutou.). J'avais couché la dame pour qu'il s'approche un peu plus d'elle. Sa marcha facilement et quand il se pencha au-dessus d'elle pour regarder la tâche foncée qui apparaissait sur sa robe. Je mise ma main par derrière sur sa bouche et lui planta mon couteau dans le dos, juste entre les cotes dans la paume droit pour qu'il ne puisse pas crier même si je le lâchai.

Je murmurais à son oriel:

- Je ne pardonne jamais aux humains fétides comme toi. Rejoins ma mère dans les enfers!

Il tomba lourdement au sol. Cela attira l'attention des gorilles pas bien loin et quand ils virent deux corps au sol et
l'ombre d'une fillette. Il était déjà trop tard.

Je disparue dans le premier souffle du vent de cette soirée et laissa derrière moi deux corps vidés de toute vie.

Pour le reste de ma vie c'est toujours la même chose, sauf que trois ans après mon premier meurtre je tuais mon père.

Il était le plus grand des s****. Je n'ai aucun regret sur ce point là.

Pourquoi je suis venue à l'académie? Chercher à me connaitre et à trouver la réponse sans moi, car je ne la dirai pas.