Messages : 32 Date d'inscription : 13/08/2011 Localisation : Cimetiere Emploi/loisirs : Ancienne professeur de langues Humeur : Morte | Sujet: Une fleur violette dans un monde sans queue ni tête.. Dim 14 Aoû - 0:24 | |
| RPG Votre personnage : Nom & Prénom : Ookami Moka Âge : 23 ans Sexe : Feminin Sexualité : Pour l'instant elle se dit hétéro, qui sait Race : Humaine Hobbies : faire ses cours, manger des sucreries Phobies : Photo, la mort, le sang. (une mauvaise note!! ) Votre classe : [ // ] Profession : Professeur de langues étrangères Armes : Pas d'armes (un stylo rouge peut être..?) Pouvoirs : Une grande souplesse, l'intelligence et la force de vivre
Description Physique :
Moka a une silhouette élancée, elle regarde le monde du haut de ses 1m65, ses yeux sont d’une profondeur exquise, bleu comme le ciel une nuit de pleine lune constellée d‘étoiles lumineuses. Il est facile de se perdre dans ce regard qui a pu supporté une marée sans faillir. Pour être assortie, elle a des cheveux d’un violet intense aux reflet plus clairs. Ceux-ci lui arrivent aux épaules, deux mèches plus longues que les autres encadrent son visage fin. Ses traits sont doux. Elle est dotée d’une poitrine généreuse, et de rondeurs là où il faut. Sans être trop grosse, même si elle est constamment en train de manger quelque chose (notamment du sucre!..). Son teint est clair et fragile, sa peau a un grain doux et est agréablement chaude. ~~>Elle ne peut pas porter de choses lourdes avec ses mains, ses poignets sont fragiles.
Son regard est toujours vide, et inexpressif, mais le sourire qu’elle a toujours aux lèvres attire la sympathie. Elle s’habille avec toutes sortes de couleurs et de vêtements, du jean à la jupe, toutefois un point commun réside dans sa garde robe. Une domination du violet. Un violet sombre ou plus clair. ~~> Elle porte un collier avec un grip pour guitare en or.
Description Morale :
Elle ne consomme quasiment que du sucre. Elle est attentive, sérieuse et gentille, comme sa mère qu’elle a perdu à ses 9 ans. La cause? Une malformation cardiaque, elle n’avait pas reçu de greffe de cœur à temps. Elle avait toujours dit à sa fille; « tu feras de grandes choses dans ta vie ». Elle avait raison, elle a tout eu pour elle, tout, sauf une vie.
C’est pourquoi Moka est aussi attentionnée. Elle peut malgré tout s’emporter et entrer dans une colère noire, méconnaissable, détestable. Sauf que quand cela arrive, elle se repliera sur elle-même le soir même, seule. Genoux près du corps, tête sur ceux-ci, secouée de sanglots. Et personne ne peut l’arrêter, elle n’a jamais rencontrée quelqu’un qui l’ai arrêté. Elle est très intelligente. C’est pourquoi malgré son âge, elle est diplômé et même professeur. Oui, âgée de 23 ans, une surdouée. Sa discipline? Les langues. Français, Anglais, Espagnol et Chinois, toutes ces langues qu‘elle sait parler, mais elle enseigne l‘anglais. Elle sait être stricte et sévère mais garde toujours son air détendu et apaisant, qui fait qu‘il est simple de rire avec elle.
Elle avait aussi un don pour jouer de la guitare et était douée en GRS. Son père l’avait éduqué de manière à ce qu’elle puisse lui apporter beaucoup, enfin pour ça, vous lirez plus bas.
Votre histoire :
Moka Ookami. Quand elle est née, elle était une petite princesse aux yeux de ses parents. Une jolie petite princesse au sourire bienveillant. Elle n’avait même pas pleurée. Elle grandit dans un environnement chaleureux, heureuse. Une enfant précoce, elle réagissait vite. Après plusieurs test, on découvrit qu’elle avait un QI très élevé. Elle était surdouée. Ses parents furent ravis de l’apprendre, car ainsi elle aurait des facilités à l’école. En parlant d’école.. Elle avait sauté plusieurs classes, mais rien ne se passait bien ;« grosse tête », « intello », « lèche cul »… Elle rata plusieurs jours de cours, elle ne se sentait pas à l’aise à l’école, elle était toujours la tête de turc. Sa peur la rendait malade. Pour cette raison elle du suivre des cours par correspondance. Elle y parvenait très bien, elle pouvait même apprendre le solfège en même temps ce qui lui permettait de jouer de la guitare acoustique (même si plus tard elle apprit également l’électrique..). Chose qu’elle fit pour jouer d’une guitare que sa mère lui offrit, d’une blancheur immaculé, avec une gravure en or spéciale; « A ma petite fleur, M.O », un grip, et voila de quoi rendre une enfant souriante. Elle avait retrouvé le sourire qui lui avait été retiré par les études. Elle avait même pu commencer à apprendre la GRS, mais elle n’aimait pas faire du sport, elle préférait se creuser les méninges. Elle arrêta cette activité lorsque sa mère mourut à ses 9 ans. Elle était très malheureuse, elle pleura toutes les larmes de son corps, libérant toute sa tristesse, évacuant sa haine contre la vie, elle pleurait pour deux, car son père lui ne pleura point.
Il tomba en dépression à la place. Il était maniaco-depressive. Un côté maniaque où il était agité, où il souffrait d’insomnies..Souffrant d’une légère paranoïa, pouvant blesser ses proches, sa fille. Et un côté dépressif, son contraire, où il était un danger pour lui-même.
Ce n’était pas une famille riche, mais il commença à acheter tout et n’importe quoi, en plus de jouer au casino son mince salaire de « chômeur » . Il ne causait que des problèmes, mais elle ne pouvait pas le laisser tomber, c‘était son père. Moka du jouer le rôle de sa défunte mère. Mais, elle lui ressemblait tant, que son père ne supportait plus de la voir ni en peinture. Il brula toutes ses photographies à ses 12 ans durant une crise, et plus jamais elle n‘utilisa d‘appareil photo, ni n‘apparut devant lui. Ils habitaient ensemble, mais elle devait rester là où il ne la verrait pas, vérifiant qu’il soit à la maison de sa chambre. Qu’il ne se blesse pas. Toujours aux aguets. Rien dans la maison ne prouvait qu’il y avait une petite fille. Elle ne laissait jamais rien trainer, non, presque jamais.
Ils étaient endettés. Elle avait réussi à passer au lycée. Elle allait bientôt passer son bac. Elle du jongler avec ses études et son père. Ne souhaitant qu’avoir un emploi stable pour pouvoir subvenir aux besoins de ce paternel, et les siens de la même manière. Si elle voulait mourir? Non, on lui a donné la vie. Ce n’était pas pour se l’enlever devant la difficulté. Elle avait perdu toute innocence. Allait dans des cliniques pour se procurer des médicaments que son père devait consommer pour gérer ses lubies. Elle lui préparait son repas tout les jours. Elle le faisait ingérer les médicaments à son insu. Lui laissant la nourriture sous aluminium, tandis qu’elle restait dans sa chambre à se nourrir de patience et de bonbons. Tout allait bien tant qu’elle le surveillait sans se montrer. Mais un jour, elle fit une erreur monumentale…
Elle allait passer son concours de professeur, du haut de ses 22 ans, et s’était rapprochée d’un pianiste lors de ses cours de guitare. Elle avait ressenti de l’amour pour lui. Et ensemble ils jouaient à la perfection, une osmose. Ils ne se disaient rien, mais ils le savaient. Et ceux qui les écoutaient, le ressentait. C’était le seul moment où elle pouvait se libérer, jouant une musique sombre, triste ou encore heureuse. Mais lui était prédestiné à faire du piano son gagne pain. Alors que Moka était destiné à s’occuper de son père. Elle avait laissé sa chance passer. Elle ne l’avait pas retenu quand il était parti en France. Effondrée lors de son départ, ne sachant plus ce qui la libérera de ses tracas, elle était rentré chez elle. Elle avait posé son étui sur la table et alla s’allonger dans son lit. Elle pleurait, elle évacuait toute la douleur en elle, silencieuse. 3 heures passèrent. Elle se leva, les yeux gonflés, elle n’avait pas entendu son père depuis qu’elle était rentré, généralement elle l’entendait au moins avec la télé à fond. Elle alla dans le séjour, son cœur se serra en sentant un courant d’air frais. La fenêtre était ouverte.
Elle avait fait une grosse erreur. Elle avait été « égoïste » de ne s’occuper que de son mal être, laissant son père torturé. Elle se dirigea vers la fenêtre. Son père était 2 étages plus bas, sur une tache étincelante pourpre dans la nuit. Elle couru appeler des secours. Il s’en sortit vivant. Mais il avait fait une tentative de suicide, prit d’un flash de raison, il avait jugé que c’était le mieux lorsqu’il avait vu «cet étui qui lui rappelait l‘existence de sa fille». Ecroulé sous les dettes, il avait mis une grosse assurance sur sa vie. Moka passa son concours, l’esprit embrumé, se demandant comment s‘en sortir. Elle le réussit. Comme toujours.
Ils passèrent un pacte. Son père lui avait promis de ne plus le faire, et même de se soigner. Elle, en échange lui promis d’endosser toutes les dettes, pour lui. « un prof ne gagne pas assez ». Il ne la voyait plus comme sa fille. Il la voyait comme un gagne pain. Il la força a jouer de la guitare pour gagner de l‘argent, et non plus par passion. Elle réussit à se faire bien voir à un concours. Mais sa musique était empreinte de tristesse, elle ressortait sombre. A cause de cela, elle se fit mal voir, elle fut détesté, rejeté, et son nom fut souillé. Encore atteinte de brimades.
Elle du arrêter. Elle ne joua plus que très rarement de la guitare. Elle en était incapable, elle ne conserva que son grip en collier. Son père la fit reprendre la GRS, a un rythme épuisant. Il lui coupa ses cheveux long dont elle était si fière. « ça te gêneras ». Elle haïssait cette activité, elle était exécrable et se blessait toujours, elle s’était déjà brisé plusieurs fois le poignet. Elle devint fragile, et ne pu plus en faire.
Elle était un jouet. Et elle allait de nouveau changer de « voie ». Professeur de langues. Finalement, c’était le seul poste dont elle était capable. Mais son père lui ne sait pas, qu’elle exerce ce métier. « plus d’argent, plus d’argent » Remboursant petit à petit. N’ayant jamais rien pour elle. Ne vivant que pour son père. Même sa passion était devenu une obligation.
Le directeur Kaien l’accueillit avec plaisir même s’il était un peu surprit qu’une enfant de 23 ans entra dans son académie pour être une professeur… Moka Ookami est une fille fragile mais forte, elle a des problèmes d’argent, et tente toujours d’en gagner plus. Même si pour cela elle doit se prendre un autre métier à mi-temps..
Elle n’a rien pour elle, sa vie ne tient qu’à son grip. Même sa guitare l’a quitté. Elle a toujours le sourire aux lèvres, mais elle-même ne comprend pas pourquoi? Peut-être parce que sinon se serait encore plus stupide? ~~> Elle ferait tout pour ses élèves, car ils sont désormais une partie d’elle-même. Non, ils sont désormais ce qui compte le plus. Ce sont eux qui lui permettent d’oublier ses problèmes, lorsqu’elle est à fond dans son travail, plus rien ne compte. N’hésitez pas à vous adressez à elle, elle connait la souffrance, et même, elle connait la manière de s’en sortir, du moins, une certaine manière.
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Vous : Prénom : Kairi =P MORPHALINETTE EST DE RETOUR! Âge : 17 (j'ai pas changé entre temps..) '-' Comment l'avez-vous connu ? : Deuxième compte =) (Kairi Tsuki //au cas >.>) Combien temps serez-vous sur le forum ? : Autant que je puisse =) Code de Validation [IMPORTANT] : Validé par Sora
Dernière édition par Moka Ookami le Dim 14 Aoû - 14:27, édité 4 fois |
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Admin' ○ Sang Pur, Elève de la Night Class & Membre du Sénat Messages : 810 Date d'inscription : 05/02/2011 Age : 34 Localisation : Tenue secrète ;) Emploi/loisirs : Sénatrice aux relations Humain-Vampire / Elève En savoir plus ?Nom & Prénom: Tsukiyo SoraArmes [2 Maxi.]: TatsumakiRelations: | Sujet: Re: Une fleur violette dans un monde sans queue ni tête.. Dim 14 Aoû - 2:46 | |
| Pas besoin de te souhaiter la bienvenue alors ;)
Code validé =)
Juste une chose, les professeurs ont minimum 25 ans. |
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